mercredi 28 novembre 2007
20:36

Epouser un certificat d'authenticité


Un fameux concept qui a toujours conditionné, ligoté, traumatisé, notre société. Le premier concept et le premier critère indispensable pour le choix de la femme de sa vie. Une marchandise cachetée, scotchée avec possibilité de garantie un an. Un signe primordial pour se rassurer que cette femme est bel et bien fidèle, digne de porter le fameux nom familial de la prestigieuse filiation. Un critère indispensable aussi pour le triomphe de la conquête, l’honneur de se sentir le premier…

Le premier en quoi ??

Intégrité, honneur et dignité. Un critère physique qui traduit une réalité morale… mais qu’est ce que nous somme loin de la réalité…

Ce que pourrait offrir une femme à son homme, de plus cher… oui le plus cher …

Plus cher que sa vie, plus cher que sa liberté, plus cher que sa santé, plus cher que sa jeunesse, son temps, son argent, sa santé, ses jours, ses nuits…

Oui, peut être auriez vous raisons messieurs, une simple membrane est plus chère que tout cela… et allez savoir si elle est vraie.

Fini.

mercredi 21 novembre 2007
11:07

Homage à toutes les sociétés arabes "surdéveloppées"


نزار قباني
خبز وحشيش وقمر

عندما يُولدُ في الشرقِ القَمرْ
فالسطوحُ البيضُ تغفو...
تحتَ أكداسِ الزَّهرْ
يتركُ الناسُ الحوانيتَ.. ويمضونَ زُمرْ
لملاقاةِ القمرْ..
يحملونَ الخبزَ، والحاكي، إلى رأسِ الجبالْ
ومعدَّاتِ الخدرْ..
ويبيعونَ، ويشرونَ.. خيالْ
وصُورْ..
ويموتونَ إذا عاشَ القمرْ

ما الذي يفعلهُ قرصُ ضياءْ
ببلادي..
ببلادِ الأنبياْ..
وبلادِ البسطاءْ..
ماضغي التبغِ، وتجَّارِ الخدرْ
ما الذي يفعلهُ فينا القمرْ؟
فنضيعُ الكبرياءْ
ونعيشُ لنستجدي السماءْ
ما الذي عندَ السماءْ
لكُسالى ضعفاءْ
يستحيلونَ إلى موتى..
إذا عاشَ القمرْ..
ويهزّونَ قبور الأولياءْ
علّها..
ترزقُهم رزّاً وأطفالاً..
قبورُ الأولياءْ..
ويمدّونَ السجاجيدَ الأنيقاتِ الطُررْ
يتسلّونَ بأفيونٍ..
نسمّيهِ قدرْ..
وقضاءْ..
في بلادي..
في بلادِ البسطاءْ..

أيُّ ضعفٍ وانحلالْ
يتولانا إذا الضوءُ تدفّقْ
فالسجاجيدُ، وآلاف السلالْ
وقداحُ الشاي.. والأطفال.. تحتلُّ التلالْ
في بلادي..
حيثُ يبكي الساذجونْ
ويعيشونَ على الضوءِ الذي لا يبصرونْ
في بلادي..
حيثُ يحيا الناسُ من دونِ عيونْ
حيثُ يبكي الساذجونْ
ويصلّونَ، ويزنونَ، ويحيونَ اتّكالْ
منذُ أن كانوا.. يعيشونَ اتّكالْ
وينادونَ الهلالْ:
" يا هلالْ..
أيها النبعُ الذي يمطرُ ماسْ
وحشيشاً.. ونُعاسْ
أيها الربُّ الرخاميُّ المعلّقْ
أيها الشيءُ الذي ليسَ يُصدَّقْ
دُمتَ للشرقِ.. لنا
عنقودَ ماسْ
للملايينِ التي قد عُطِّلت فيها الحواس "

في ليالي الشرقِ لمّا
يبلغُ البدرُ تمامهْ..
يتعرّى الشرقُ من كلِّ كرامهْ
ونضالِ..
فالملايينُ التي تركضُ من غيرِ نعالِ..
والتي تؤمنُ في أربعِ زوجاتٍ..
وفي يومِ القيامهْ..
الملايينُ التي لا تلتقي بالخبزِ.. إلا في الخيالِ
والتي تسكنُ في الليلِ بيوتاً من سعالِ..
أبداً.. ما عرفتْ شكلَ الدواءْ..
تتردّى..
جُثثاً تحتَ الضياءْ..

في بلادي..
حيثُ يبكي الساذجونْ
ويموتونَ بكاءْ
كلّما طالعهم وجهُ الهلالِ
ويزيدونَ بكاءْ
كلّما حرّكهم عودٌ ذليلٌ.. و"ليالي"..
ذلكَ الموتُ الذي ندعوهُ في الشرقِ..
"ليالي".. وغناءْ
في بلادي..
في بلادِ البُسطاءْ..

حيثُ نجترُّ التواشيحَ الطويلهْ..
ذلكَ السلُّ الذي يفتكُ بالشرقِ..
التواشيحُ الطويلهْ
شرقُنا المجترُّ.. تاريخاً.. وأحلاماً كسولهْ
وخُرافاتٍ خوالي..
شرقُنا، الباحثُ عن كلِّ بطولهْ
في أبي زيدِ الهلالى..
lundi 19 novembre 2007
13:42

Lève toi, ne baisse pas les bras


Combien de fois j'ai pleuré, combien de nuits blanches passées dans le noir à contempler ce plafond vide...
J'ai toujours souffert après un adieu.. Un adieu est toujours pénible... ça me fait souffrir et ça fait tant de mal... Ca fait mal a un coeur qui n'a jamais changé, un coeur qui n'a pas su être quelqu'un d'autre... Eux, ils sont différents, ils partent dans tout les sens me laissant à ma place...
Ils partent, emportant avec eux une partie de moi, une partie de mon coeur, une partie de ma cervelle, une partie de mon temps, de mes souvenirs... Ils emportent avec eux les sourirs et les folies, les fous rires et les bêtises qu'on s'est partagés... Combien de fois nous avons menti comme de petits gosses pour organiser une folie, une fête ou une escapade...
Alors que je pleure, toi tu t'amuses... tu as emporté ce que tu veux... mais tu t'en es débarassé dans le premier café bu sans mon souvenir... tu t'en es débarassé dans le premier appéritif dégusté sans mes angoisses, sans mon stress, sans mes protestations, sans mes comptes rendus, sans mes coups de gueule... Amuse toi à évacuer mes souvenirs sur le corps de la première qui s'allonge sur ton lit, amuse toi à t'en débarasser de ce qui te reste dans le premier joint fumé, amuse toi, rigole, rejouit de ta libérté....
Tu es parti, je reste...
Maintenant que je suis par terre, brulée, bléssée, delaissée, j'ai deux choix... rester et bouder... continuer à pleurer et à ruminer, donner l'opportunité aux pieds des passants de m'ecraser...
Le deuxième choix, c'est de se relever, se soigner et continuer de marcher.
dimanche 18 novembre 2007
12:32

ouchh..ouuuchhhh!!


Khdemtouch...
sna3touch....
antajtouch...
fakkartouch...
t7aouertouch...
Fla7touch...
Nja7touch..
Cha3mal fina Bush
khammamtouch...
lé lé rabbi mahdehouch
may5ammem ken fel krouch... ou fel babbouch
kifech y3abbi estouch.... ou 9adech il touche
ta9raou ouala mata9raouch..
a7na hakka mannete3bouch
Eselhom skertouch.... che5touch... zataltouch... dh7aktouch... Baouachtouch... r9atouch.. jarrabtouch.. kassartouch.. fassatouch..3arbatouch...baznastouch... taya7touch...tda7nastouch...y9ouloulek ouch ouch...
ama ghir hedha zeyed.... matkalmouhouch...
Fakkitouch.. Yezzitouch... rhamtouch... ya wledi Fe9touch!!!

Le livre de ma mère


Ecrit par Albert Cohen, et apparu sous les éditions folio. Hommage à toutes les mamans, jamais un livre ne m'a touché aussi profondément. c'est un livre boulversant, ce livre d'un fils à sa maman, et de tous les enfants à toutes les mamans du monde et de tous les temps.

"...Raconte ta mère à leur calme manière, sifflote un peu pour croire que tout ne va pas si mal qui ça, et surtout souris, n'oublie pas de sourire. Souris pour escroquer ton désespoir, souris pour continuer de vivre, souris dans ta glace et devant les gens, et même devant cette page. Souris avec ton deuil plus haletant qu'une peur. Souris pour croire que rien n'importe, souris pour te forcer à feindre de vivre, souris sous l'épée suspendue de la mort de ta mère, souris toute ta vie à en creuver et jusqu'à ce que tu en crève de ce permanent sourire."

"...Fils des mères encore vivantes, n'oubliez plus que vos mères sont mortelles. Je n'aurai pas écrit en vain, si l'un de vous, après avoir lu mon chant de mort, est plus doux avec sa mère, un soir, à cause de moi et de ma mère. Aidez-la mieux que je n'ai su aimer ma mère. Que chaque jour vous lui apportiez une joie, c'est ce que je vous dit du droit de mon regret, gravement du haut de mon deuil. Ces paroles que je vous adresse, fils des mères encores vivantes, sont les seules condoléances qu'à moi-même je puisse m'offrir. Pendant qu'il est temps, fils, pendant qu'elle est encore là. Hâtez-vous, car bientôt l'immobilité sera sur sa face imperceptiblement souriante virginalement..."

"...Louange à vous, mères de tous les pays, louange à vous en votre soeur ma mère, en la majesté de ma mère morte. Mères de toute la terre, Nos dames les mères, je vous salue, vielles chéries, vous qui nous avez appris à faire les noeuds des lacets de nos souliers, qui nous avez appris à nous moucher, oui, qui nous avez montré qu'il faut souffler dans le mouchoir pour y faire feufeu, comme vous nous disiez, vous, mères de tous les pays, vous qui patiemment enfourniez, cuillère après cuillère, la semoule que nous, bébés, faisons tant de chichis pour accepter, vous qui, pour nous encourager à avaler les pruneaux cuits, nous expliquiez que les pruneaux sont de petits nègres qui veulent rentrer dans leur maison et alors le petit crétin, ravi et soudain poète, ouvrait la porte de la maison, vous qui nous avez appris à nous garganiser et qui faisiez reureu pour nous encourager et nous montrer, vous qui étiez sans cesse à arranger nos mèches bouclées et nos cravates pour que nous fussions jolis avant l'arrivée des visites ou avant notre départ pour l'école, vous qui sans cesse harnachiez et pompomponniez vos vilains nigauds petits poneys de fils dont vous etiez les bouleversantes propriétaires, vous qui nettoyiez tout de nous et nos sales genous terreux ou écorchés et nos sales petits nez de marmots morveux, vous qui n'aviez aucun dégoût de nous, vous, toujours si faibles avec nous, indulgentes qui plus tard vous laissiez si facilement embobiner et refaire par vos fils adolescents et leur donniez toutes vos économies, je vous salue, majestés de nos mères. Je vous salue, mères pleines de grâce, saintes sentinelles, courage et bonté, chaleur et regard d'amour, vous aux yeux qui devinent, vous qui savez tout de suite si les méchants nous ont fait de la peine, vous, seuls humains en qui nous puissions avoir confiance et qui jamais, jamais ne me trahirez, je vous salue, mères qui pensez à nous sans cesse et jusque dans nos sommeils, mères qui pardonnez toujours et caressez nos fronts de vos mains flétries, mères qui nous attendez, mères qui êtes toujours à la fenêtre pour nous regarder parti, mères qui nous trouvez incomparables et uniques, mères qui ne vous lassez jamais de nous servir et de nous couvrir et de nous border au lit même si nous avons quarantes ans, qui ne nous aimez pas moins si nous sommes laids, ratés, avilis, faibles ou lâches, mères qui parfois me faites croire en Dieu."
lundi 12 novembre 2007
22:50

القصيدة الدمشقية ___ نزار قباني


هذي دمشقُ.. وهذي الكأسُ والرّاحُ

إنّي أحبُّ... وبعـضُ الحـبِّ ذبّاحُ

أنا الدمشقيُّ.. لو شرحتمُ جسدي

لسـالَ منهُ عناقيـدٌ.. وتفـّاحُ

و لو فتحـتُم شراييني بمديتكـم

سمعتمُ في دمي أصواتَ من راحوا

زراعةُ القلبِ.. تشفي بعضَ من عشقوا

وما لقلـبي –إذا أحببـتُ- جـرّاحُ

مآذنُ الشّـامِ تبكـي إذ تعانقـني

و للمـآذنِ.. كالأشجارِ.. أرواحُ

للياسمـينِ حقـوقٌ في منازلنـا..

وقطّةُ البيتِ تغفو حيثُ ترتـاحُ

طاحونةُ البنِّ جزءٌ من طفولتنـا

فكيفَ أنسى؟ وعطرُ الهيلِ فوّاحُ

هذا مكانُ "أبي المعتزِّ".. منتظرٌ

ووجهُ "فائزةٍ" حلوٌ و لمـاحُ

هنا جذوري.. هنا قلبي... هنا لغـتي

فكيفَ أوضحُ؟ هل في العشقِ إيضاحُ؟

كم من دمشقيةٍ باعـت أسـاورَها

حتّى أغازلها... والشعـرُ مفتـاحُ

أتيتُ يا شجرَ الصفصافِ معتذراً

فهل تسامحُ هيفاءٌ ..ووضّـاحُ؟

خمسونَ عاماً.. وأجزائي مبعثرةٌ..

فوقَ المحيطِ.. وما في الأفقِ مصباحُ

تقاذفتني بحـارٌ لا ضفـافَ لها..

وطاردتني شيـاطينٌ وأشبـاحُ

أقاتلُ القبحَ في شعري وفي أدبي

حتى يفتّـحَ نوّارٌ... وقـدّاحُ

ما للعروبـةِ تبدو مثلَ أرملةٍ؟

أليسَ في كتبِ التاريخِ أفراحُ؟

والشعرُ.. ماذا سيبقى من أصالتهِ؟

إذا تولاهُ نصَّـابٌ ... ومـدّاحُ؟

وكيفَ نكتبُ والأقفالُ في فمنا؟

وكلُّ ثانيـةٍ يأتيـك سـفّاحُ؟

حملت شعري على ظهري فأتبِعني

ماذا من الشعرِ يبقى حينَ يرتاحُ؟

samedi 10 novembre 2007
09:55

Etat de dégout énorme


Je suis dégoutée, je veux m'exprimer afin de me libérer. Mais je sais que rien ne pourrait exprimer mon dégoût que des mots grossiers... des éxpressions dégoutantes... aussi dégoutantes que mon dégout moi même... Je ne me reproche rien. Je suis celle qui a toujours affiché son vrai visage, qui a toujours essayé de montrer ses facettes cachées... qui réjouit quand ses amis admettent ses défauts et continuent à être ses amis....
J'ai gaché une partie de mon temps, à suivre un feuilleton débile, insencé, ... mais surtout dégeulasse.. Aussi dégeulasse et d'une baseesse inégalée... Que j'essayais de décoder son énigme, comprendre sa symbolique, analyser son paradigme... blablabla... j'ai entamé des lectures scientifiques, philosophiques, pragmatiques... pour lire un feuilleton débile...
Les chères consoeurs téléspectatrices qui ont aussi suivi ce feuilleton , dans des périodes différentes. Et qui sait, d'autre en parallèle avec moi... Elle me reprocheraient certainement mon comportement peu respectueux vis à vis de ce chef d'oeuvre... Monsieur le metteur en scène, réalisateur, scénariste et acteur principal m'a même reproché de ne pas être à la hauteur et que je ne dispose pas des outils et des compétences intellectuelles minimales pour la compréhension de son chef d'oeuvre....
Dis donc, un bouton nous sépare.... j'aurais pu m'épargner toute cette fatigue et cette bassesse d'ésprit... mais.... je suis comme ça, je ne crois pas aux apparences qui ne sont pas toujours trompeuses...
jeudi 8 novembre 2007
20:20

Un poème écrit par une adolescente


Je suis tombée sur le journal intime que je tenais il y'a 10 ans ... Je reprends un ancien poème tel qu'il a été écrit un cetain22 février 1998.(avec les fautes d'orthographe):

"Et il pleut sur les trottoires
Comme il pleut dans mon coeur

Et dans les cieux il y'a des orages

Qui enflamment mon âme

Et je me promène dans les rues desertes

Abandonnées des habitants et en état d'alerte

Je cherche sans trouver les instants en perte
Je cherche un mot qui fait renaitre l'espoir
Qui fait passer ces instants noirs
Mais hélas, comme ces murs brisés
Ces maisons tristes et abandonnées
Je demeure solitaire, triste et peinée
Je cherche encore un mot qui renait
De l'éternité, de l'imparfait, mais désormais
Je pleure et je pleure et je voyage
En laissant ce passé, ces rêves, ces images
Je voyage vers le monde des mensonges
En laissant ces figures et mon village
Triste et solitaire
Car il pleut dans mon coeur
Comme il pleut sur ses trottoires.
vendredi 2 novembre 2007
15:33

Les couleurs de ma patrie


Une conversation s'est déroulée sur msn avec Azwaw qui m'a motivée à poster ceci:

Le tunisien n'a pas eu l'éducation nécessaire pour aimer sa patrie. Jeunes lycéens, le salut du drapeau était une corvée pour nous, qu' on essayait de fuire au maximum...

Regardez les joueurs de foot lors d'un match de l'équipe nationale, aucun n'apprend l'hymne, et il y'en a meme ceux qui rigolent sans aucun respect...
C'est le défaut de notre éducation, on ne nous a pas appris à aimer notre patrie...
Les hommes qui ont construit cette patrie, on entend à peine parler d'eux. C'est aussi le problème de nos medias... Ils ne traitent que des sujets futiles, superficiels et débiles!!!
Je me demande vraiment, au lieu que de mettre du n'importe quoi, qu'ils nous passent les archives de la télé comme "Toujihet errais" ou encore les archives du journal info, pour qu'on apprenne, c'est qui Bouriguiba, Kayed essebsi, Ben salah, Nouira, et les autres... Belhouène, Farhad Hached, Mongi Slim, Mahmoud el Matri...
Et meme les Beys... on ne parle jamais d'eux!
Est-ce que notre histoire fait vraiment peur? Est-ce qu'on ne possède vraiment pas d'histoire? Pas assez de gloire?, qui nous sensibilise envers notre hymne national, envers notre drapeau... Qui nous sensibilise envers nos racines et notre patrie..

On a malheureusement appris à l'ecole primaire à chanter "namoutou namoutou wa ya7ya el bachkoutou"
.....
je me rapelle il y'a 4 ou 5 ans quand tous les jeunes étaient fan de téléchargement des sonneries de portables...il y'avait entre autre notre hymne national,"houmat el hima" et bein, on mettait ça pour rigoler et pour déconner..
...Par contre il y'avait la marseillese, et celui qui mettait la marseillese faisait synonime, de quelquun de chic, IN, à la page...
Et quand je me rend compte qu' il y'a des gens qui ont sacrifié leurs vies pour qu'on n'ecoute plus cet hymne... Des fleuves de sang ont coulé et ont arrosé cette terre pourqu'on soit indépendants.
?
?
?
Pourquoi on se moque de "houmet el hima" comme sonnerie de portable alors ce qu'il ne l'est pas s'il s'agit de la marseillese?
...
Un tat de questions que je n'arrive pas à resoudre jusqu'à nos jours et je pense que le malheur est enraciné, il est plus grave que le fait qu'on ne connais pas notre histoire...
Il s'agit de sentiments et d'amour... l'amour de la patrie...